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 Adolphe Adam

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MessageSujet: Adolphe Adam    Adolphe Adam   EmptyLun 10 Déc - 21:15

Adolphe Charles Adam est un compositeur français né le 24 juillet 1803 à Paris où il est mort le 3 mai 1856.

Son père, Johann Ludwig Adam, connu sous le nom de Jean-Louis Adam, était un pianiste et compositeur alsacien, professeur de piano au Conservatoire de Paris. Mauvais élève, Adam désertait les cours avec un cancre de la même envergure, Eugène Sue. Adolphe Adam, après avoir commencé d'étudier la musique en cachette de son père, entra au Conservatoire de Paris en 1817, fut élève de Boieldieu mais n'hésita pas à user de subterfuges pour se faire connaître : il travaillait le soir à l'orchestre du Gymnase, allant jusqu'à reverser ses cachets à ceux qui acceptaient de se faire remplacer et écrivait des chansons et musiques de circonstances pour autrui. Malgré ces facéties, il acquit assez de métier pour devenir lauréat du second prix de Rome en 1825.

Adolphe Adam choisit la carrière qui conduisait alors le plus sûrement à la renommée et à la fortune : celle de compositeur lyrique. Son maître, Boieldieu, l'orienta vers l'opéra-comique, genre alors en pleine mutation. En 1834, il connut son premier succès important, avec son opéra-comique Le Chalet, considéré depuis comme le point de départ même de l'opérette à la française, et qui influença jusqu'à Offenbach à ses débuts. En 1836, l'opéra-comique Le Postillon de Longjumeau, obtint un succès phénoménal qui gagna l'Europe, même si l'ouvrage se joue de moins en moins aujourd'hui. Peu à peu, la renommée d'Adam s'accrut. Les critiques élogieuses du Brasseur de Preston parvinrent aux oreilles du tsar et Adam gagna Saint-Pétersbourg en 1839, où il fut accueilli par son propre ballet La Fille du Danube. Il composa alors un nouveau ballet, L'Écumeur des mers (Morskoï Rasbonick). Adam, considéré comme le digne successeur de Boieldieu, qui fut maître de chapelle à Saint-Pétersbourg, se vit proposer par le tsar la même fonction, mais la déclina.

Il composa une Marche funèbre pour le retour des cendres de l'empereur Napoléon Ier et leur inhumation aux Invalides le 15 décembre 1840. 1841 vit la naissance du succès le plus durable d'Adolphe Adam, son ballet Giselle ou les Wilis, sur un livret de Théophile Gautier, inspiré d'un poème extrait de "De l'Allemagne" de Heinrich Heine.

En 1844, il fut nommé membre de l'Académie des beaux-arts en composition musicale. En 1845, il obtint à nouveau un grand succès avec son ballet Le Diable à Quatre. En 1847, suite à une dispute avec la direction de l'Opéra-Comique, il fut l'instigateur de la création du Théâtre-National, installé dans la salle du Cirque-Olympique ; ce théâtre avait pour premier but, fort louable, d'accueillir les jeunes compositeurs ne parvenant pas à faire jouer leurs ouvrages ailleurs. Le premier à en bénéficier fut Louis-Aimé Maillart, dont l'opéra Gastibelza ouvrit le premier rideau de cette nouvelle scène lyrique (seul son opéra-comique Les Dragons de Villars est aujourd'hui connu). Mais la révolution ruina cette tentative : le Théâtre-National fut fermé en 1848 et, afin d'apurer les dettes, Adam dut trouver d'autres sources de revenus et se mit à écrire des articles.

L'année suivante, il succéda à son père comme professeur de piano au Conservatoire. Les trois derniers succès notoires d'Adolphe Adam furent les opéras-comiques Le Toréador en 1849 (l'air de bravoure Ah ! Vous dirai-je, Maman ? sur un thème de Mozart est toujours en vogue auprès des sopranos coloratures) et Si j'étais roi en 1852 et le ballet Le Corsaire en 1856. Bien qu'Adam ne fut plus endetté à partir de 1853, il continua d'écrire ses articles jusqu'à sa mort, survenue quelques jours après la création aux Bouffes-Parisiens de son opérette, Les Pantins de Violette.
Ses œuvres
Adolphe Adam vers 1855.

La majorité des œuvres d'Adam n'eurent qu'un succès éphémère, notamment ses nombreuses chansons et pièces pour piano, quelques arrangements et orchestrations d'œuvres d'autres compositeurs (Grétry et Monsigny, notamment, à la demande de Louis-Philippe lui-même : il était donc difficile de refuser, ce qui n'empêcha pas le jeune Richard Wagner d'écrire une violente critique à ce sujet), quelques cantates scéniques, et autres œuvres vocales profanes et sacrées.

Le Cantique de Noël, sur des paroles de Cappeau de Roquemaure, demeure toutefois célèbre aujourd'hui sous le nom de « Minuit, chrétiens ». Néanmoins Adam ne semble pas y avoir attaché une grande importance, car il n'en dit pas un mot dans ses deux volumes de souvenirs.

Adam connut le succès grâce à plus de 70 compositions lyriques, dont 40 opéras, 14 ballets et de nombreuses opérettes et vaudevilles. Pour l'Opéra de Paris, il composa Richard en Palestine, La Bouquetière et Le Fanal, qui ne remportèrent pas un grand succès. Ses opéras les plus fameux sont Le Roi d'Yvetot, Giralda ou la Nouvelle Psyché, Si j'étais roi, Le Chalet – son œuvre la plus populaire en France et à propos de laquelle Boieldieu écrivit « Je voudrais que cette musique fût de moi » – et Le Postillon de Longjumeau, encore plus populaire à l'étranger, au point d'avoir été souvent copié mais pas toujours avec bonheur. En Italie, Il Postiglione di Longjumeau fut un four et dut être retiré dès le troisième soir. À Madrid, la zarzuela de Cristobal Oudrid, El Postillon de la Rioja, n'obtint qu'un succès d'estime. Aujourd'hui, Le Postillon de Longjumeau n'est pratiquement plus joué en France, mais conserve un indéniable engouement en Allemagne sous le titre Der Postillon von Longjumeau.

Parmi ses 14 ballets, les plus connus sont Le Diable à quatre, La Jolie Fille de Gand, La Filleule des fées, Le Corsaire et surtout Giselle, ou les Wilis (1841), qui met en scène les amours malheureuses de la jeune paysanne Giselle et du duc Albrecht. Musicalement, Giselle introduit le principe, encore léger mais bien réel cependant, du leitmotiv. C'est le premier ballet à établir et maintenir une ambiance, une atmosphère, dégageant la partition de son rôle unique jusqu'alors de « fournisseuse de rythmes » (voir les pages de Schneitzhoeffer ("La Sylphide"), de Minkus ("Don Quichotte" ou encore "La Bayadère"), de Pugni ("La Fille du Pharaon" ou encore "le célèbre "Pas-de-Quatre")…). Il n'est que justice de signaler que dès la création de "Giselle", un pas-de-deux y fut inséré, qui figure toujours à l'Acte I, le "Pas des jeunes paysans". Il s'intègre sans problème à la partition, pourtant, il n'est pas d'Adolphe Adam, mais de Johann Friedrich Burgmüller, compositeur bien oublié aujourd'hui, auteur l'année suivante d'un autre ballet sur un argument de Théophile Gautier, "La Péri".

Par leurs qualités, les ballets d'Adam amorcent le renouveau de la musique de ballet où brilleront plus tard Delibes, Lalo, Messager et tant d'autres. Tchaïkovski lui-même relisait toujours la partition de Giselle avant d'écrire un nouveau ballet et disait de cette œuvre : « C'est un bijou, poétique, musical et chorégraphique. » Camille Saint-Saëns quant à lui, déclarait au sujet de Giselle : « Qu'a donc fait Adam dans "Giselle" ? Non seulement il a fait la musique la plus symphonique qu'il a pu, mais il a donné dans ce qu'on est convenu d'appeler la musique savante, n'ayant pas hésité à faire danser les Wilis sur une fugue ! Il a su écrire aussi dans "Giselle" de vrais airs de danse. » En revanche, présent lors de la création de Giselle, Richard Wagner, jeune critique encore inconnu, correspondant d'un journal de Dresde, se borna à railler la frivolité française, sans rien repérer d'autre…
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MessageSujet: Re: Adolphe Adam    Adolphe Adam   EmptyDim 7 Avr - 15:49

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