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  JIM MORRISSON

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MessageSujet: JIM MORRISSON   	 JIM MORRISSON EmptyMer 26 Déc - 19:54

James Douglas Morrison, plus connu sous son surnom « Jim » ou plus tard « Lizard King », né le 8 décembre 1943 à Melbourne (Floride) et mort le 3 juillet 1971, à Paris, est un poète et chanteur de rock américain, leader du groupe The Doors de 1965 à 1971.

Sex-symbol provocant au comportement volontairement excessif, devenu une véritable idole de la musique rock, mais aussi intellectuel engagé1 dans le mouvement du protest song, en particulier contre la guerre du Viêt Nam, attiré par le chamanisme, on lui attribue une réputation de « poète maudit » que sa mort prématurée, à Paris, dans des circonstances mal élucidées, transforme en légende.

Le culte que lui vouent ses fans éclipse cependant une œuvre poétique d'une grande richesse que Morrison lui-même a pu considérer comme sa principale activité, au moins à partir de l'été 19682.

Jim Morrison a trois ans et demi, quand lors d'un trajet en voiture de Santa Fe à Albuquerque, il vit un événement qu'il décrira plus tard comme l'un des plus importants de sa vie. Il raconte, sur le disque posthume An American Prayer :
« [We] were driving through the desert, at dawn, and a truck load of Indian workers had either hit another car, or just - I don't know what happened - but there were Indians scattered all over the highway, bleeding to death. […] That was the first time I tasted fear. […] The reaction I get now thinking about it, looking back - is that the souls or the ghosts of those dead Indians… maybe one or two of 'em… were just running around freaking out, and just leaped into my soul. And they're still in there. » (« Nous roulions à travers le désert, à l'aurore, et un camion plein d'ouvriers indiens avait soit percuté une autre voiture soit seulement - enfin, je ne sais pas ce qui s'était passé - mais il y avait des Indiens qui gisaient sur toute l'autoroute, agonisant, perdant du sang.[…] Ce fut la première fois que je goûtai la peur. […] Ma réaction aujourd'hui en y repensant, en les revoyant - c'est que les âmes ou les esprits de ces Indiens défunts... peut-être d'un ou deux d'entre eux… étaient en train de courir dans tous les sens, paniqués, et ils ont tout simplement sauté dans mon âme. Et ils sont toujours là. »)
Il est bien sûr permis de douter de la réalité de ce « transfert d'âme », d'autant que Jim Morrison n'a jamais hésité à mentir sur sa propre autobiographie (il avait ainsi affirmé être orphelin dans les fiches d'informations individuelles accompagnant la courte biographie du groupe destinée à leur maison de disques, Elektra Records, quelques semaines avant la sortie de The Doors, leur premier album), mettant à profit ses remarquables talents de conteur. Néanmoins, on peut trouver dans cette anecdote la source de deux inspirations majeures dans le comportement de Jim et dans sa poésie : d'une part, une attirance très marquée pour la mystique des Amérindiens et le chamanisme ; d'autre part, le recours à l'autoroute et aux véhicules automobiles typiques de l'american way of life comme métaphore morbide du technicisme moderne.

Adolescent caractériel ou génie incompris ?[modifier]

En février 1948, le père de Jim repart en mission, ce qui amène la famille à déménager à Los Altos. L'année suivante naît le troisième enfant de la famille, un garçon baptisé Andrew (Andy) Lee. Jim. En 1951, Steve Morrison est nommé en poste à Washington DC, où la famille emménage pour la seconde fois. Elle n'y reste cependant que quelques mois, car Steve est envoyé en mission en Corée en 1952, la famille Morrison s'installant alors à Claremont en Californie. En 1955, Steve est nommé à nouveau à Albuquerque où les Morrison reviennent. Ces multiples déplacements et les missions fréquentes assignées à Steve Morrison, réduisant sa présence auprès de sa famille, ont certainement joué un rôle dans la personnalité complexe de Jim Morrison, qui découvre son huitième domicile alors qu'il n'a que onze ans. En particulier, il se lie peu avec ses camarades de classe et présente un comportement de plus en plus instable, turbulent, voire asocial. Lecteur vorace, il se désintéresse de la vie familiale et s'évade dans les romans. Il martyrise volontiers son petit frère - il va jusqu'à lui jeter des pierres, à le réveiller en pleine nuit sans motif, à lui jouer toutes sortes de tours dangereux3. Il invente également des mensonges de plus en plus élaborés, ce qui lui permet de raffiner son talent de conteur et de « tester » les réactions de ses interlocuteurs. Il aime aussi à agir de manière totalement inattendue, contrevenant aux codes sociaux les plus élémentaires pour déstabiliser son entourage : ainsi, lors d'un repas de famille solennel, intima-t-il à sa mère, d'un ton très poli, de « faire moins de bruits répugnants en mangeant »3. Les parents de Jim sont d'autant plus déconcertés que leur fils réussit remarquablement en classe et maintient des moyennes excellentes dans toutes les matières.

En 1958, Jim lit le « grand classique » de la littérature beat, le roman de Jack Kerouac On The Road (Sur la route). Très impressionné par le personnage de Dean Moriarty, sorte de voyou terrifiant et magnifique, Jim s'identifie à lui et commence à imiter son ricanement caractéristique.

Jusqu'en 1962, Jim effectue ses années de lycée. Excellent élève, il y conserve une moyenne de 88,32/1003. Très au-dessus de la moyenne nationale, son quotient intellectuel est évalué à 1493. Son appétit de lecture ne se dément pas, marquant un net intérêt pour la littérature et la poésie (il lit James Joyce, William Blake et Arthur Rimbaud, ainsi que les « beat poets » Allen Ginsberg, Lawrence Ferlinghetti et surtout Michael McClure, avec qui il se liera d'amitié en 1968), mais également pour l'histoire antique (il se passionne pour les Vies parallèles de Plutarque) et pour la philosophie, surtout pour les écrits de Friedrich Nietzsche qui le marquent considérablement. Ses résultats, ses centres d'intérêt, mais aussi le statut de son père, valent à Jim d'être approché par plusieurs fraternities importantes, mais il refusera toujours de s'y joindre, exprimant même son dédain. Il reste distant dans tous ses rapports sociaux, participe rarement aux fêtes, n'appartient à aucun club, mais cette froideur n'entame en rien sa popularité : beau garçon, volontiers charmeur, capable de tenir un auditoire en haleine avec des histoires invraisemblables mais narrées avec une grande force de conviction, il constitue, selon les témoignages de ses camarades d'école, un véritable pôle d'attraction au sein du lycée.

À cette même époque, il accomplit un acte inaugural : il rassemble tous les cahiers dans lesquels, depuis plusieurs années, il tenait son journal, prenait des notes de lecture, réalisait des croquis ou des esquisses, copiait des citations, élaborait des vers : puis, il les jette à la poubelle. Il déclarera plus tard : « maybe if I'd never thrown them away, I'd never have written anything original […]. I think if I'd never gotten rid of them I'd never been free. »4 : « Peut-être, si je ne les avais pas jetés à la poubelle, n'aurais-je jamais rien écrit d'original […]. Je pense que si je ne m'en étais pas débarrassé, je n'aurais jamais été libre. » Cette « libération » lui permet d'élaborer un style poétique très personnel, d'un abord obscur mais d'une grande force évocatrice. Il écrit dès cette époque le poème Horse Latitudes, qui figurera sur le deuxième album de The Doors, Strange Days.

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