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 Hector Berlioz

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MessageSujet: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyLun 28 Oct - 16:39

Hector Berlioz est un compositeur, écrivain, chef d'orchestre et critique musical français, né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André (Isère) et mort le 8 mars 1869 à Paris.

Reprenant, immédiatement après Beethoven, la forme symphonique initiée par Haydn, Berlioz la renouvelle en profondeur avec la musique à programme (Symphonie fantastique), la symphonie concertante (Harold en Italie) et la symphonie dramatique (Roméo et Juliette).

Je vais vous faire écouter Harold en Italie que j'ai écouté en concert avec en soliste un Alto


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ninipeaudetoutou777
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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyLun 28 Oct - 18:37

non!!! je ne le crois pas!!Berlioz n'avait pas un post ici!!!!!!
Ce n'est pas possible ça, je vais fouiner  en écoutant ta vidéo ,je reviens
j'adore cette marche des pélerins
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ninipeaudetoutou777
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ninipeaudetoutou777


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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyLun 28 Oct - 18:45

Eh non!!nous l'avions oublié dans le déménagement!!un scandale!!!


Hector Berlioz (prononcer [bɛʁ.'ljoːz]1 ; ['bɛr.ʎo] en francoprovençal2) est un compositeur, écrivain, chef d'orchestre et critique musical français, né le 11 décembre 1803 à La Côte-Saint-André (Isère) et mort le 8 mars 1869 à Paris.
Reprenant, immédiatement après Beethoven, la forme symphonique initiée par Haydn, Berlioz la renouvelle en profondeur avec la musique à programme (Symphonie fantastique), la symphonie concertante (Harold en Italie) et la symphonie dramatique (Roméo et Juliette).
L'échec de Benvenuto Cellini, en 1838, lui ferme les portes de l'Opéra. En conséquence, son chef-d'œuvre lyrique, Les Troyens, ne connaît qu'une création partielle et très amputée, en 1863, et l'opéra comique Béatrice et Bénédict est créé à Baden-Baden. Berlioz invente le genre de la « légende dramatique » avec La Damnation de Faust et L’Enfance du Christ, œuvres conçues pour le concert, à mi-chemin entre l'opéra et l'oratorio.
Faisant souvent appel à des effectifs considérables dans sa musique symphonique (symphonie funèbre et triomphale) et religieuse (Requiem, Te Deum), Berlioz organise d'importants concerts publics et crée le concept de festival.
Avec Les Nuits d'été enfin, Berlioz inaugure le genre de la mélodie française pour chant et ensemble instrumental, promis à un bel avenir avec les œuvres, notamment, de Duparc, Fauré, Chausson et Ravel.
Toujours en difficultés financières, les circonstances l'engagent à présenter lui-même sa musique dans de vastes tournées en Allemagne, en Europe centrale et jusqu'en Russie, où sa musique est bien accueillie. Avec Franz Liszt, Berlioz est à l'origine des grands mouvements nationalistes musicaux de la fin du xixe siècle, russes (du Groupe des Cinq jusqu'à Stravinsky et Prokofiev), tchèques (de Dvorak à Janacek) et hongrois (jusqu'à Bartok et Kodaly).
Reconnu de son vivant comme un maître de l'orchestre, Berlioz publie en 1843 son traité d'instrumentation et d'orchestration modernes, qui inspire de nombreux compositeurs et reste un modèle pour les ouvrages traitant du même sujet au xxe siècle (tels ceux de Rimsky-Korsakov et de Charles Koechlin).
Éminent représentant du romantisme européen, Berlioz se considérait comme un compositeur classique3, dans la continuité d'artistes comme Gluck, Weber et Beethoven. Sa musique a fait l'objet de controverses, et plus encore de malentendus. C'est en partie pour les dissiper que Berlioz entreprit la rédaction de ses Mémoires en 1849, et rassembla certains de ses articles de critique musical dans des ouvrages aux titres volontiers humoristiques (Les soirées de l'orchestre, Les grotesques de la musique, À travers chants).
L'importance de son œuvre dans l'histoire de la musique n'a été reconnue que lentement. Les célébrations du centenaire de sa mort, en 1969, ont entraîné l'enregistrement de l'intégralité de ses partitions majeures. Et le bicentenaire de sa naissance, en 2003, a vu Les Troyens entrer enfin au répertoire de l'Opéra.
Hector Berlioz est issu d'une vieille famille du Dauphiné. Son père, Louis Berlioz, est médecin, et sa mère, Antoinette-Joséphina Marmion, catholique fervente.
À l'âge de six ans, Berlioz est envoyé au séminaire pour y entreprendre ses études. À la fermeture de l'établissement, en 1811, son père décide de se charger de son éducation, le destinant à une carrière de médecin. Cette éducation paternelle ne l'empêche pas de compléter sa formation avec un maître de musique qui lui enseigne le chant et la flûte. À l’âge de douze ans, il se met à composer4. En 1819, son père lui achète une flûte puis une guitare, et Hector prend des leçons d'un nouveau professeur. Deux ans plus tard, Hector Berlioz est promu bachelier ès lettres à Grenoble, le 22 mars 1821.
Inscrit à l’école de médecine de Paris, il quitte sa famille fin octobre et suit les cours du programme pendant une année, avant d'écrire à son père qu'il préfère l’art à la médecine : « Je sentis ma passion pour la musique s’accroître et l’emporter sur mon désir de satisfaire mon père »5. Il se brouille avec sa famille, fréquente l'Opéra de Paris et suit les enseignements de Jean-François Lesueur, puis d'Antoine Reicha.
Les débuts[modifier | modifier le code]


Portrait de Berlioz par Émile Signol, 1832
À une époque où sa formation musicale est encore rudimentaire, il commence à jouer de la guitare et du flageolet. Il est très tôt attiré par la vie parisienne des années de la Restauration des Bourbons, période marquée par un grand élan culturel et intellectuel.
En 1823, il étudie la composition au Conservatoire de Paris. Il écrit la Messe solennelle en 1824 et découvre Weber, dont il se souviendra pour la Symphonie fantastique. Malgré ses échecs au concours de Rome en 1827, 1828 et 1829 (sa cantate Cléopâtre est jugée injouable par le jury en 1829), il poursuit ses études au Conservatoire, dirigé alors par le grand maître de l'époque, Luigi Cherubini, avec Antoine Reicha pour la fugue et le contrepoint, et Jean-François Lesueur pour la composition.
Au cours d'une représentation d'Hamlet, il découvre Shakespeare et tombe amoureux d'une actrice irlandaise qui joue dans la pièce, Harriet Smithson, qu'il épousera en 1833.
Il découvre aussi Goethe et son Faust : il va tout d'abord écrire sur la traduction de Gérard de Nerval, Huit scènes de Faust (1828), puis la légende dramatique La Damnation de Faust (1846).
L'exécution en 1828 des symphonies de Beethoven par François-Antoine Habeneck, sera une révélation, pour Berlioz. « Je venais d’apercevoir en deux apparitions Shakespeare et Weber ; aussitôt, à un autre point de l’horizon, je vis se lever l’immense Beethoven. La secousse que j’en reçus fut presque comparable à celle que m’avait donnée Shakespeare. Il m’ouvrait un monde nouveau en musique, comme le poëte m’avait dévoilé un nouvel univers en poésie. » - (Mémoires, chapitre XX)
La Symphonie fantastique[modifier | modifier le code]
Dès 1830, six ans seulement après la Symphonie n° 9 de Beethoven, ses études, ses influences et son génie lui permettent d'écrire la Symphonie fantastique, op. 14, qui enthousiasme Franz Liszt, mais provoque un grand scandale chez un public qui ne se rend pas compte de la portée de l'œuvre : elle va relancer la « musique à programme », ou « musique descriptive », et va s'insinuer partout dans la musique allemande (Franz Liszt et Richard Strauss), puis dans la musique française (Saint-Saëns, Dukas, Franck et d'Indy). Dès 1834, il se fait connaître comme critique dans la Gazette musicale, puis dans le Journal des débats, où il soutient son système musical, qui subordonne l'harmonie à la recherche de l'expression.
Voyages et premiers écrits[modifier | modifier le code]
Il remporte le prestigieux Prix de Rome en 1830 avec sa cantate Sardanapale, ce qui l'amène à vivre à l'académie de France à Rome (Villa Médicis). Il y rencontre Mendelssohn, mais l'Italie l'inspire et le déçoit tout à la fois.
En 1831 et 1832, son séjour le pousse à composer Lélio ou le Retour à la vie, Le Roi Lear ainsi que Harold en Italie (1834) pour alto et orchestre, à la demande de Paganini sur un poème de Lord Byron intitulé Childe Harold's Pilgrimage. Cette œuvre constitue une « seconde Symphonie fantastique ».
Il est engagé en 1835 comme critique musical dans le Journal des débats, où ses articles font date et lui valent de nombreuses inimitiés. Il y collabore jusqu'en 1864.
Le Requiem[modifier | modifier le code]


Berlioz, avant 1864.
Cliché de Charles Reutlinger
Alors qu'il était considéré dans toute l'Europe comme un héros romantique, il restait un ennemi à Paris, où la musique était avant tout affaire de politique, de pouvoir, d'alliances et de trahisons.
Ainsi, lorsqu'il obtint un contrat du ministère des Beaux-arts pour une messe des morts, les partisans du directeur du Conservatoire, Cherubini, tentèrent en vain de faire résilier le contrat. Après qu'il eut terminé l'œuvre (en moins de trois mois) et que les arrangements eurent été pris pour la création d'un concert, le Ministère annula celui-ci, sans explication.
Le Requiem eut cependant sa chance, grâce au concours d'amis bien placés. En décembre 1837, il fut joué dans la chapelle des Invalides, décorée de milliers de chandelles pour la circonstance, en présence de la famille royale, du corps diplomatique et de toute la haute société parisienne ; Berlioz avait obtenu cent quatre-vingt-dix instrumentistes, deux cent dix choristes, quatre ensembles de cuivres placés dans les coins de la chapelle, ainsi que seize timbales.
Il raconte dans ses mémoires :
« Au moment de [l'entrée des quatre orchestres de cuivres], au début du Tuba mirum qui s’enchaîne sans interruption avec le Dies irae, le mouvement s’élargit du double ; tous les instruments de cuivre éclatent d’abord ensemble dans le nouveau mouvement, puis s’interpellent et se répondent à distance, par des entrées successives, à la tierce supérieure les unes des autres. Il est donc de la plus haute importance de clairement indiquer les quatre temps de la grande mesure à l’instant où elle intervient. Sans quoi ce terrible cataclysme musical, préparé de si longue main, où des moyens exceptionnels et formidables sont employés dans des proportions et des combinaisons que nul n’avait tentées alors et n’a essayées depuis, ce tableau musical du Jugement Dernier, qui restera, je l’espère, comme quelque chose de grand dans notre art, peut ne produire qu’une immense et effroyable cacophonie.
Par suite de ma méfiance habituelle, j’étais resté derrière Habeneck et, lui tournant le dos, je surveillais le groupe des timbaliers, qu’il ne pouvait pas voir, le moment approchant où ils allaient prendre part à la mêlée générale. Il y a peut-être mille mesures dans mon Requiem. Précisément sur celle dont je viens de parler, celle où le mouvement s’élargit, celle où les instruments de cuivre lancent leur terrible fanfare, sur la mesure unique enfin dans laquelle l’action du chef d’orchestre est absolument indispensable, Habeneck baisse son bâton, tire tranquillement sa tabatière et se met à prendre une prise de tabac. J’avais toujours l’œil de son côté ; À l’instant je pivote rapidement sur un talon, et m’élançant devant lui, j’étends mon bras et je marque les quatre grands temps du nouveau mouvement. Les orchestres me suivent, tout part en ordre, je conduis le morceau jusqu’à la fin, et l’effet que j’avais rêvé est produit. Quand, aux derniers mots du chœur, Habeneck vit le Tuba mirum sauvé : « Quelle sueur froide j’ai eue, me dit-il, sans vous nous étions perdus! — Oui, je le sais bien, répondis-je en le regardant fixement. » Je n’ajoutai pas un mot … L’a-t-il fait exprès ? Serait-il possible que cet homme, d’accord avec M. XX., qui me détestait, et les amis de Cherubini ait osé méditer et tenter de commettre une aussi basse scélératesse ? Je n’y veux pas songer… Mais je n’en doute pas. Dieu me pardonne si je lui fais injure. »
— Hector Berlioz, Mémoires, chap. XLVI.
Le Requiem valut à Berlioz un succès critique et public.
L'opéra[modifier | modifier le code]


Statue d'Hector Berlioz, place Victor-Hugo à Grenoble
En 1838, pour son entrée à l'Opéra de Paris avec Benvenuto Cellini, l'atmosphère de cabale organisée par ses adversaires conduit à l'échec des représentations. Toutefois, l'engagement de Berlioz à la bibliothèque du Conservatoire et l'estime que lui porte Paganini lui permettent d'écrire Roméo et Juliette (1839), qui enthousiasme Richard Wagner.
La période 1840-1841 voit la composition de la Symphonie funèbre et triomphale, le cycle de Les Nuits d'été (sur six poèmes de Théophile Gautier: Villanelle, Le Spectre de la rose, Absence, Sur les lagunes, Au cimetière, L'Île inconnue) pour voix et piano qu'il orchestre par la suite.
Pendant cette période, il est reconnu davantage en sa qualité de chef d'orchestre que de compositeur, et il est plus apprécié à l'étranger qu'en France ; il dirige ses propres œuvres, mais aussi des œuvres de ses confrères en Belgique, en Allemagne, en Angleterre, en Hongrie ou en Russie, et se fait accompagner par la cantatrice Marie Recio (nom de scène de Marie Martin6), sa nouvelle compagne. Son œuvre L'Enfance du Christ est accueillie en triomphe (1864). La période anglaise de 1847-1848 est particulièrement fertile en aventures. Berlioz dirige l'orchestre de Drury Lane à Londres, dont le chef d'orchestre est le compositeur Louis-Antoine Jullien, le roi des concerts promenades et des concerts monstres. Jullien avait sollicité la participation de Berlioz, et celui-ci le maudira après l'avoir encensé. Louis-Antoine Jullien est un fou à plus d'un titre7.
En 1847, sur les conseils de son ami Balzac, à un moment où il était à court d'argent, comme c'était souvent le cas8, il se rend en tournée en Russie, où il remporte un triomphe à Saint-Pétersbourg et à Moscou. Il est logé chez la grande-duchesse Hélène, qui l'accueille avec faste. Aux concerts qu'il dirige dans la salle de l'Assemblée de la noblesse, il est bissé jusqu'à douze fois ! Pendant son premier bis, il s'écrie :« Je suis sauvé ! », au deuxième « Je suis riche ! »9 Il dirige alors Roméo et Juliette, Le Carnaval romain et la Symphonie funèbre et triomphale. Il reviendra en 1867 dans ce qu'il appelle « la fière capitale du Nord ».
En 1856, il entame la composition de son « opus magnum » Les Troyens et écrit le livret inspiré par le poème épique L'Énéide, œuvre de Virgile. La genèse de son ouvrage remonte à sa plus tendre enfance, et l'influence de Virgile et de Shakespeare est récurrente dans son œuvre. Les Troyens est achevé deux ans plus tard, mais Berlioz ne peut le faire jouer dans son intégralité, car les administrateurs sont rebutés par la durée et les moyens exigés par l'œuvre.
Tombe d'Hector Berlioz–Cimetière de Montmartre-Paris

Tombe d'Hector Berlioz au cimetière de Montmartre (Paris)
Berlioz compose ensuite l'opéra-comique Béatrice et Bénédict, inspiré de Beaucoup de bruit pour rien de Shakespeare, mais tombe malade après la mort de Marie, puis de son fils Louis, en 1866. Après une tournée triomphale en Russie, au cours de laquelle il va influencer les jeunes Moussorgski, Rimsky-Korsakoff et Borodine, il fait un voyage à Nice en mars 1868, où il se blesse en faisant une chute. En août 1868, il effectue son dernier voyage à Grenoble, la ville de résidence de sa sœur et de sa famille. Invité par le maire Jean Vendre à l'occasion de trois journées de festivité organisées pour l'inauguration d'une statue équestre de Napoléon Ier, il préside un festival de musique. Il décède le 8 mars 1869 à Paris, 4 rue de Calais, dans le quartier de la « Nouvelle-Athènes » (IXe). Il est enterré au cimetière de Montmartre (avenue Berlioz, 20e division, 1re ligne), près de ses deux épouses Harriet Smithson et Marie Recio10.

Et voila son merveilleux Requiem


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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyLun 28 Oct - 19:21

Au sujet du nombre de musiciens et de chanteurs, Berlioz a écrit sur la partition que "ce nombre est relatif et si possible, si la place le permet, il faut doubler ou tripler le nombre de voix et augmenter le nombre d’instruments dans les mêmes proportions".

La messe fut interprétée par plus de 400 musiciens et chanteurs lors de sa création.

J'aurais aimé écouté cela ! c'est grandiose !!
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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyLun 28 Oct - 19:41

Par son écriture novatrice, le choix des instruments, l'originalité de leurs utilisations, l'invention de leurs combinaisons et l'audace des effets (comme l'ambitus des nuances ou la spatialisation), la Symphonie fantastique, composée six ans seulement après la 9e symphonie de Beethoven, fait du jeune Berlioz (il n'avait que vingt-sept ans) l'un des rares maîtres de l'orchestration de la musique classique.



Voici une petite histoire ...

Pendant le magnifique concert de Harold en Italie, j'écoutais et j'étais subjugué par la harpe qui était placé en avant plan ! Quand un coup de Cymbale m'a fait sursauté !! et je n'ai plus oser quitter des yeux le lascar ...

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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyMar 29 Oct - 8:51

Hector Berlioz 1570584945 Hector Berlioz 1570584945 Hector Berlioz 1570584945 Hector Berlioz 1570584945  voila enfin l'oubli réparé!! Berlioz le mérite bien!!
Il n'avait que 27 ans pour la symphonie fantastique? un vrai génie

et la harpiste était belle ??Hector Berlioz 2065209056 

Hector Berlioz 1406186269 Hector Berlioz 1406186269 
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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyMar 29 Oct - 8:56

Ma ninichka chérie, je n'ai vu que ses mains ! Et il y avait aussi une charmante violoniste asiatique ...
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MessageSujet: Re: Hector Berlioz   Hector Berlioz EmptyMar 29 Oct - 8:59

il y a des mains qui en disent long....
pis arrête avec tes asiatiques ou je balance tout à ta fée, qui n'a rien d'une asiatique, et c’est pour ça qu'elle est belle
Hector Berlioz 2441882005 Hector Berlioz 2441882005 Hector Berlioz 2441882005 Hector Berlioz 2441882005 
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