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 Gabriel García Márquez

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ninipeaudetoutou777
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ninipeaudetoutou777


Messages : 9805
Date d'inscription : 14/12/2012

Gabriel García Márquez Empty
MessageSujet: Gabriel García Márquez   Gabriel García Márquez EmptyMar 29 Avr - 8:55

Gabriel García Márquez, né le 6 mars 1927 à Aracataca (Colombie) et mort le 17 avril 2014 (à 87 ans) à Mexico, est un écrivain colombien.
Romanciernouvelliste, mais également journaliste et activiste politique, il reçoit en 1982 le prix Nobel de littérature. Affectueusement connu sous le surnom de « Gabo » en Amérique latine, il est l'un des auteurs les plus significatifs du xxe siècle.
Étudiant, García Márquez poursuit en autodidacte ses études après avoir quitté son école de droit pour se lancer dans le journalisme. Très tôt, il ne montre aucune retenue dans sa critique sur la politique intérieure comme extérieure de la Colombie. En 1958, il épouse Mercedes Barcha avec qui il a deux fils : Gonzalo et Rodrigo García, devenu réalisateur. Il a beaucoup voyagé en Europe et vit ensuite à Mexico, où il lance une édition mexicaine de son hebdomadaire colombien Cambio.
En tant qu'écrivain, García Márquez commence en publiant nombre d'œuvres littéraires, généralement bien reçues, dans le domaine de la non fiction, ainsi que des nouvelles. Cependant ce sont ses romans, tels que Cent ans de solitude (1967), Chronique d'une mort annoncée (1981) et L'Amour aux temps du choléra (1985), qui lui ont apporté la reconnaissance de la critique littéraire ainsi qu'un large succès commercial. Son nom est associé fréquemment au « réalisme magique », genre qui insère des éléments magiques et des éléments surnaturels dans des situations se rattachant à un cadre historique et géographique avéré. La plupart de ses livres abordent le thème de la solitude ; l'action de plusieurs de ses œuvres se déroule dans un village fictif appelé « Macondo »
Gabriel García Márquez 220px-Gabriel_Garcia_Marquez

eunesse
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Gabriel est l'aîné d'une famille de onze enfants, dont les parents sont Gabriel Eligio García (1901-1984) et Luisa Santiaga Márquez Iguarán (1905-2002)B 1,D 1. Né lors d'une tempête, il semblerait qu'il se soit présenté avec le cordon ombilical autour du cou, ce qui expliquerait sa tendance à la claustrophobieA 1. Juste après la naissance de son fils son père décide de devenir pharmacien alors qu'il était précédemment télégraphisteA 2. En janvier 1929, ses parents partent pour BarranquillaB 2,5 tandis que Gabriel reste à Aracataca. Il est élevé par ses grands-parents maternels, Doña Tranquilina Iguarán Cotes de Márquez (1863-1947) et le colonel Nicolás Ricardo Márquez Mejía (1864-1937)C 1.
Quand ses parents sont tombés amoureux l'un de l'autre, leur relation s'était heurtée à la résistance du père de Luisa Santiaga Márquez. En effet, Gabriel Eligio García était pauvre et métisA 3. De plus, il était partisan du parti conservateur et avait la réputation d'être un coureur de jupons. Il n'était donc pas l'homme que le colonel Nicolás Ricardo Márquez Mejía souhaitait pour sa filleB 3,C 2. Gabriel Eligio a courtisé Luisa avec des sérénades au violon, des poèmes d'amour, de nombreuses lettres et même avec des messages télégraphiques après que le « colonel » a imposé à sa fille de quitter la ville avec l'intention de séparer le jeune couple. Les parents de Luisa ont tout essayé pour se débarrasser de Gabriel Eligio mais il a continué malgré tout à courtiser Luisa Santiaga. Ils ont finalement capitulé et lui ont donné la permission d'épouser leur filleF 1,B 4, refusant cependant d'assister au mariage organisé à Santa MartaA 2. L'histoire tragicomique de leur cour sera plus tard adaptée dans l'Amour aux temps du choléraA 4,B 5.
Alors que les parents de García Márquez étaient plus ou moins des étrangers pour lui lors des premières années de sa vie, ses grands-parents ont eu une forte influence sur luiB 6,F 2. Son grand-père, qu'il surnommait « Papa Lelo »B 6, était un vétéran de la guerre des Mille Jours, à laquelle il avait participé dans le camp libéralB 7. Le Colonel était considéré comme un héros par les Colombiens libéraux et était fort respectéB 8. Il était particulièrement connu pour son refus de passer sous silence le massacre des bananeraies qui a eu lieu l'année suivant la naissance de García MárquezB 9. Le Colonel, que García Márquez a décrit comme « le cordon ombilical entre l'histoire et la réalité »5, était aussi un excellent conteurB 10. Il a enseigné à García Márquez un savoir scolaire et l'amenait également au cirque tous les ans. Il a été le premier à lui faire découvrir la glace, un « miracle » découvert dans un magasin de la United Fruit CompanyB 11. Occasionnellement, il faisait comprendre à son petit-fils qu'il n'y avait pas de plus grand fardeau moral que celui d'avoir tué un homme, une leçon que García Márquez intègrera plus tard dans son œuvreB 12,F 3.
Sa grand-mère, Tranquilina Iguarán Cotes, a joué un rôle tout aussi influent dans la construction de la personnalité de García Márquez et la manière qu'elle avait de « traiter les choses extraordinaires comme si elles étaient tout à fait naturelles » l'a beaucoup inspiréF 4. Sa maison était remplie d'histoires de fantômes et de prémonitions, de présages et de prophétiesB 13, toutes ignorées consciencieusement par son mariB 6. Selon García Márquez, c'est elle qui est « la source de la vue magique, superstitieuse et surnaturelle de la réalité »5 qui traverse ses écrits. Il aimait en effet la façon unique qu'avait sa grand-mère de raconter les événements les plus fantastiques et improbables comme des vérités irréfutables. Ce style impassible a influencé, quelque trente ans plus tard, le roman le plus populaire de García Márquez : Cent ans de solitudeB 14 ainsi que nombre des nouvelles ayant pour cadre le village fictif de Macondo.
 Enfant, García Márquez a fréquenté l'établissement scolaire María Montessori qui appliquait une nouvelle méthode d'enseignement (dite pédagogie Montessori). Cependant cette école, ayant connu des difficultés de fonctionnement, ferma en milieu d'année et obligea ainsi García Márquez à redoubler sa première année. Il n'apprit donc à lire et à écrire qu'à l'âge de huit ansA 5. En 1936, il entre à l'école publique d'AracataA 6.
En mars 1937, son grand-père meurt d'une pneumonie, deux ans après une chute d'échelle dont il ne s'était jamais entièrement remisA 7. Il part alors vivre en 1938 chez ses parents à Barranquilla où son père tient une pharmacieF 4,C 3. Il termine son cycle primaire dans cette ville. Afin d'aider ses parents qui ont des soucis financiers, García Márquez travaille pour un magasin où il peint des messages sur des panneaux et distribue également des prospectus auprès d'un imprimeurA 8.
En novembre 1939, la famille au complet part s'installer à Sucre, Gabriel Eligio souhaitant retourner dans cette petite ville où il était allé dans sa jeunesseA 9. Cependant, García Márquez retourne à Barranquilla au collège San José où il obtient des résultats scolaires satisfaisants. Il écrit des Fadaises qui sont des poèmes satiriques et humoristiques sur les autres élèves ou sur certains règlements de l'école, publiant également plusieurs poèmes dans le journal de l'école, JuventudA 10.
En 1943, García Márquez part à Bogota afin de passer un examen d'obtention de bourse qu'il réussit. Il obtient ainsi une place au lycée national de garçons à ZipaquiráA 11. Lors de ses études, Carlos Martín, qui est proviseur du lycée, présente pour la première fois le jeune homme à deux poètes majeurs de l'époque : Eduardo Carranza et Jorge RojasA 12. En décembre 1944El Tiempo publie un des poèmes de García Márquez, Canción(Chanson), sous le pseudonyme de Javier GarcèsA 13.
Après avoir obtenu son baccalauréat, García Márquez s'inscrit, à la suite de l'insistance de son père, à l'Université nationale de Colombie située à Bogotá pour étudier le droitA 14. Cependant, il préfère la littérature et, après avoir lu La Métamorphose de Franz Kafka, il écrit une nouvelle, La troisième résignation, qui est publiée le 13 septembre 1947 dans El EspectadorA 15. En 1948, à la suite de l'assassinat du leader libéral Jorge Eliécer Gaitán le9 avril 1948 et aux graves émeutes qui suivent (le Bogotazo), l'université ferme, ce qui permet à García Márquez d'interrompre ses études de droit qui ne l'intéressent pas et de partir à Carthagène6,A 16.
Débuts en journalisme
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Arrivé à Carthagène, García Márquez se réinscrit cependant en faculté de droit pour poursuivre sa deuxième année d'étudesA 17. Peu après, le hasard fait qu'il est engagé à vingt-et-un ans par Manuel Zapata Olivella en tant que chroniqueur pour le journal El Universal, fondé moins de dix semaines auparavantA 18. Continuant à étudier le droit par intermittence, il rédige notamment quarante-trois articles sous son nom au cours des vingt-trois mois suivants pour El UniversalA 19. Envoyé par ce dernier à Barranquilla, García Márquez fait la connaissance du groupe informel d'écrivains et de journalistes connu sous le nom de « Groupe de Barranquilla », et notamment d'Alfonso Fuenmayor qui est rédacteur en chef adjoint du journal El HeraldoA 20. En1948, il commence à rédiger son premier roman, sous le titre provisoire de La Casa. En 1949, il décide de quitter Carthagène et de retourner à Barranquilla, décision que son ami Ramiro de la Espriella explique de la sorte : « Eh bien, je crois qu'il est allé à Barranquilla pour avoir de l'air, un surcroît de liberté et un meilleur salaireA 21. »
Plus tard, de 1950 à 1952, il écrit une colonne humoristique quotidienne, La Jirafa (La Girafe)7, sous le nom de « Séptimus » dans le journal local El Heraldo de BarranquillaH 1. Ses colonnes et éditoriaux pour El Heraldo sont payés à la tâche par le journalD 2. Il devient également directeur d'un éphémère hebdomadaire indépendant, La Crónica, produit dans l'atelier d'El Heraldo et qui est paru entre avril 1950 et juin 1951A 22. Pendant ces années, García Márquez rejoint le « groupe de Barranquilla », qui lui a fourni motivation et inspiration au début de sa carrière littéraire. Il a travaillé en s'inspirant de figures comme Ramón Vinyes, le patriarche du groupe, dépeint comme un vieux catalan possédant une librairie dans Cent ans de solitudeG 1. À la même époque, García Márquez se nourrit également des œuvres de Virginia WoolfWilliam Faulkner ou James Joyce. Les techniques narratives, thèmes historiques et localisations provinciales utilisés par Faulkner ont influencé beaucoup d'auteurs latino-américains de cette générationH 2. L'environnement de Barranquilla a permis à García Márquez de découvrir le meilleur de la littérature mondiale de l'époque tout en approfondissant sa culture caribéenne. Par ailleurs, lors de cette période, il fait la connaissance du poète Álvaro Mutis qui l'incite à terminer son roman Des feuilles dans la bourrasque qu'il avait commencé à écrire en 1950A 23 et qui sera publié pour la première fois en 1955.
Entre 1954 et 1955, García Márquez séjourne de nouveau à Bogotá, où il écrit régulièrement pour El Espectador des critiques cinématographiques avec une vision plutôt littéraire et humanisteA 24 ainsi que des reportages. Il fit notamment un reportage sur un glissement de terrain meurtrier à Medellín. En plus de découvrir des preuves de la négligence des autorités, il montra que les habitants, qui voulaient secourir les victimes, avaient déclenché un second éboulement meurtrierA 25.
En 1955, une série d'entrevues de García Márquez avec Luis Alejandro Velasco, seul survivant de huit marins colombiens tombés à la mer du navire de guerre Caldas en février 1955, est publiée dans El Espectador sous forme de quatorze articlesG 1,8. Ce récit sera de nouveau publié en 1970 sous le titre Récit d'un naufragé. Alors que la version du gouvernement selon laquelle les huit hommes seraient tombés à la mer au cours d'une forte tempête, Velasco confie à García Márquez que « le problème, c'est qu'il n'y a pas eu de tempête », et que les hommes sont tombés à la mer parce qu'un chargement mal arrimé d'appareils électroménagers ramenés des États-Unis (chargement qui n'avait pas sa place à bord d'un navire de guerre) s'est détaché9. Cette révélation, confirmée ensuite par des photographies prises par les marins à bord du Caldas, donnera lieu à de fortes controverses allant jusqu'à des menaces contre García Márquez, qui sont une des raisons pour laquelle il est envoyé comme correspondant en EuropeG 2, où il écrira pour El Independiente, journal qui avait brièvement remplacé El Espectador sous le gouvernement militaire de Gustavo Rojas Pinilla10 avant d'être finalement fermé par les autoritésH 2. Les expériences journalistiques de García Márquez sont fondamentales pour sa carrière d'écrivain. Selon le critique littéraire Gene H. Bell-Villada, « Grâce à ses expériences dans le domaine du journalisme, García Márquez est, de tous les grands auteurs vivants, celui qui est le plus proche de la réalité de tous les jours. »E 1.
García Márquez part en 1955 pour l'Europe en tant que correspondant étranger à la conférence de Genève entre les « quatre Grands » (l'Union soviétique, le Royaume-Uni, les États-Unis et la France). Il y écrit plusieurs articlesA 26 et part ensuite en Italie, dans la ville de Rome, pour rédiger une série d'articles sur l'affaire Wilma Montesi qu'il définit comme étant le « scandale du siècle »A 27. Puis, il assiste au 16e Festival du cinéma de Venise où il écrit divers articles et critiques de films. Il traverse également différents pays européens : l'Autriche, la Tchécoslovaquie, la Pologne, la Hongrie ou encore la Russie, avant de retourner à Rome pour s'inscrire à des cours de cinéma au Centro Sperimentale di Cinematografia de CinecittàA 28.
En décembre 1955, García Márquez part pour Paris et reprend contact avec Plinio Apuleyo Mendoza qu'il avait déjà rencontré à Bogotá avant le Bogotazo. En janvier 1956, après avoir fait payer une amende de 600 000 pesos à El EspectadorGustavo Rojas Pinillafait fermer le journal, qui ne peut plus rémunérer García MárquezA 29. Ce dernier devra ainsi temporairement loger dans un grenier sans chauffage au septième étageA 29. Le 15 février 1956El Independiente remplace El Espectador et, avant la fermeture administrative de ce nouveau journal le 15 avril 1956, le jeune journaliste colombien peut écrire une série de dix-sept articles sur un procès dans lequel des personnes étaient accusées d'avoir fourni des secrets gouvernementaux aux communistesA 30. C'est également pendant sa période parisienne que García Márquez commence à écrire son roman La Mala Hora qui sera publié en 1962. À cette époque, il se procure en édition de poche l'œuvre complète de François Rabelais qui aura une influence marquante sur sa création littéraire11.
En mars 1956, García Márquez fait la rencontre de Tachia Quintana, une jeune actrice espagnole, avec qui il noue une relation très forte. D'ailleurs, lorsque Gerald Martin lui demande de plus amples détails à ce sujet, l'écrivain colombien répond que « tout le monde a trois vies : une vie publique, une vie privée et une vie secrète »A 31. Peu après, Quintana tombe enceinte et, après une fausse couche, leur relation prend finA 32. La même année, García Márquez finit d'écrire Pas de lettre pour le colonel (El coronel no tiene quien le escriba).
Lorsque Plinio Mendoza revient à Paris en mai 1957, lui et García Márquez décident de partir tous deux en Europe de l'Est en commençant par Leipzig puis Berlin, ville où García Márquez rédige quelques articles sur le rideau de ferA 33. Puis les deux hommes retournent à Paris avant de repartir à Moscou pour assister au VIe Congrès international de la jeunesseA 34. Après un détour par la Hongrie, García Márquez revient dans la capitale française où, de septembre à octobre 1957, il écrit une série d'articles qui retranscrivent ses voyages en Europe et qui paraîtra en français sous le titre 90 jours derrière le rideau de fer (De viaje por los países socialistas) en 1959.
Lors d'un court séjour à Londres à partir de novembre 1957, García Márquez accepte un poste à Caracas au sein du journal Momento proposé par le patron de Plinio Mendoza le 16 décembre 1957A 35.
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