MARTIN RUMMEL

Boy Meets Girl: Il est l'un de ces histoires improbables que le fils d'un marchand de village au milieu d'Allemagne de l'Ouest devient nulle part un professeur de droit autrichien et en épouse une des filles du chef de la direction de l'Autrichien raffinerie de sel tenue et un pianiste polonais .  Mais cela est exactement ce qui est arrivé.  Mon père est né à Duisburg (de tous les lieux) en 1940 et a grandi dans un petit village près de Bonn.  Il est ensuite allé étudier l'économie et de droit à Bonn et ensuite suivi son professeur à Vienne où il a rencontré ma mère en 1967. Ma mère avait une histoire familiale très compliquée: Né sur un quai de gare à Olsztyn, en 1943, elle a grandi à Vienne et voulait à l'origine pour étudier la musique, mais alors formé pour être un traducteur avant de finalement obtenu un doctorat en droit.  En 1970, mes parents ont déménagé à Linz où mon père est devenu un professeur de droit et je suis né en 1974. Il signifiait qu'il était une famille sans-abri avec une connexion viennoise forte qui a soudainement eu un autre membre de la famille en tant que natif de Haute-Autriche.  Aujourd'hui, avec ma tante ayant été chef de l'Office autrichien du patrimoine national et toute ma famille qui vit à Vienne, je me sens plus comme étant viennoise avec un lien fort à Haute-Autriche.  Merci à l'arrière-plan de mon père je tiens un Autrichien et un passeport allemand.
Je suis allé à l'école à Linz, qui n'a pas été ce que je voudrais appeler le plus grand moment de ma vie.  À un âge précoce, je commençais à avoir des leçons de musique d'abord de ma mère (qui entre-temps avait également diplômé de Brucknerkonservatorium Linz en tant que professeur de musique) et par la suite à partir de Helga Schiff-Riemann, la fille de Hugo Riemann et mère de violoncelliste Heinrich Schiff.  On a vite découvert que je devais pas parfait, mais a également souffert de rhume des foins sévère, qui - logique, non?  - Signifiait que le piano était un déchet, le vent et les cuivres étaient hors de question et donc le violoncelle était la seule option parce que la pratique du violon a été déclaré insupportable, l'alto même pas la peine de mentionner et de la contrebasse ... eh bien, impraticable.  En 1982, je commençais mes cours de violoncelle avec Wilfried Tachezi au Brucknerkonservatorium Linz et également continué mes études de clavecin avec Août Humer.  A la chute du Mur en 1989, mon père était professeur invité à l'université de Trèves et moi, sans vraiment savoir comment, a remporté le Concours des Jeunes Musiciens autrichiennes.  En 1991, je obtenu un diplôme de l'Brucknerkonservatorium, étant le plus jeune diplômé jamais à l'heure.  Cet enregistrement devait être brisée par le pianiste Andreas Eggertsberger quelques années plus tard.
En 1990 je rencontre Robert Cohen, et mon père m'a permis de passer des vacances scolaires à étudier avec lui et peu de temps après avec son professeur William Pleeth à Londres.  Le projet de loi était de devenir la plus grande influence dans mon développement musical et professionnel jusqu'à sa mort le 6 Avril 1999. Dans la première moitié des années 1990, je également étudié avec Maria Kliegel à Cologne, vivant à la maison de mes grands-parents près de Bonn.  Je dois Maria Kliegel beaucoup, surtout en ce qui concerne ma capacité à analyser la technique du violoncelle, mais l'esprit musical, le style et l'éthique du projet de loi Pleeth ai ne m'a jamais quitté.

 Avec un diplôme de soliste Musikhochschule de Cologne, datant de 1997, Je croyais prêt pour le monde.  Je ne savais pas ... Après quelques années de vie à Londres, je suis retourné à l'Allemagne, à nouveau à la maison à Meckenheim près de Bonn.  En 2000, je fus invité à prendre un poste d'enseignant à l'Académie de musique de Kassel que je gardais jusqu'en 2006, après une période plutôt traumatisante autour de la maladie et la mort de ma mère en 2004. En 2002, je l'avais déménagé à Munich et ensuite réalisé que je suis Autrichien au cœur.  En 2005, je pris un appartement à Vienne et ne peux pas vraiment imaginer de ne pas avoir au moins un endroit pour aller à dans la plus belle de toutes les villes où je suis assez chanceux pour appeler à la maison.
Depuis environ 1992, je l'ai reçu des invitations de partout dans le monde pour jouer à de grands endroits et avec certains des musiciens les plus étonnantes autour.  Je suis heureux d'appeler certains des plus grands musiciens de ma génération, non seulement «partenaires dans le crime», mais aussi des amis: premier et le clarinettiste tout Dimitri Ashkenazy, mais pianistes aussi Christopher Hinterhuber et Roland Krüger, violoniste Lena Neudauer, altiste Firmian Lermer et le violoncelliste Alexander Hülshoff.  En plus de travailler avec des gens comme eux, il me semble avoir recueilli un certain nombre de légendes âgées au fil des ans: des musiciens comme Jörg Demus, Dénes Zsigmondy ou Eduard Brunner.  Il est cette richesse de l'expérience de la vie que je ressens me rend la vie tellement excitant.  En 1990, je eu la chance de travailler avec Alfred Schnittke pour une semaine, et cette expérience initié ma fascination pour un dialogue direct avec les compositeurs.  Sofia Gubaidulina, Howard Blake, Graham Whettam, Matthias Pintscher, Jörn Arnecke et beaucoup d'autres devaient suivre, entraînant premières de cinq concertos pour violoncelle à ce jour et d'innombrables premières mondiales ou nationales de solo, duo et la chambre msuci morceaux.  Au cours des dernières années, je l'ai réduit la quantité de pièces contemporaines que je joue à ceux que je l'adore vraiment, étant incertain si composition contemporaine va dans une direction dont je pense qu'il devrait être particulièrement soutenue.

Entre 2004 et 2008, je publiai toutes les grandes etudes avec Bärenreiter-Verlag et aussi enregistré tous, dont la combinaison est pourquoi la plupart des violoncellistes seront probablement expirez avec un soupir en entendant ou en lisant mon nom.  Pourtant, je ne peux pas cacher une certaine satisfaction en disant que ces éditions sont maintenant littéralement partout.  Ils sont un énorme succès et ont eu critiques élogieuses partout dans le monde (à l'exception d'un collègue qui est en train d'écrire pour divers magazines Schott et semble avoir décidé sur un crucade personnelle contre mes éditions).  Quelqu'un a dit que je suis le violoncelliste le plus enregistré de ma génération (si cela est vrai ou non, il ya beaucoup d'entre eux ...) et les médias Paladino a été une histoire de son propre.  En 2002 et 2005 Brockmeyer Verlag à Bochum a publié deux romans policiers que je l'avais écrit avec mon ami Reinhard Cebulla.  Je suis responsable pour les fêtes "JSB" (de 1997 à 1999), "Kammermusik" (2001 et 2002), "Holzhauser Musiktage (2004 et 2005)," Wiener Gitarrefestival "(2008 à 2011) et« Klassik Musikfest Mühlviertel "( 2007 à 2012) en plus d'un certain nombre de petites séries de concerts dans des lieux comme Brucknerhaus Linz. Depuis 2010, je suis également d'enregistrement pour Naxos et ai été un artiste d'approbation pour Thomastik. Je jouais à beaucoup d'endroits merveilleux, avec aa grande variété d'orchestres , les conducteurs et les incroyables partenaires de musique de chambre tout en accumulant un montant ridicule de airmiles (pourquoi voudriez-vous des vols gratuits si vous venez de faire 83 vols à l'intérieur des douze derniers mois?).
En regardant la plupart des dernières années 2009 semble avoir été l'un des plus grands changements pour ma vie: sur recommandation de Klaus Heymann suivant les conseils de Maria Kliegel, je fus nommé le professeur de violoncelle à l'Université d'Auckland, à seulement douze jours avant l'enregistrement officiel de la fondation de la musique Paladino (maintenant Paladino médias).  De Février 2009 à Novembre 2013, je partageais ma vie entre Vienne et Auckland, dépensant un total de quatre mois par an en Nouvelle-Zélande ou plutôt vivre dans un nuage constante de décalage horaire et, en raison de l'ordre inverse des saisons, beaucoup en hiver .  En 2013, je me suis senti que le temps était prêt à passer et de quitter l'enseignement à Auckland.  Maintenant, je suis à nouveau vivant à Vienne et ne bénéficiant plus de cohérence dans mon existence.

 Être extrêmement heureux que mon père a trouvé un nouvel amour après ma mère est morte en 2004, je l'ai aimé et perdu comme tout le monde et je suis très heureux avec ce que la vie a à offrir pour le moment.  Pour moi, il est un grand privilège de vivre comme je le fais, rencontrer des gens remarquables à certains des plus beaux endroits du monde, faire ce que je pense est l'essence de l'existence humaine: essayer de comprendre comment les gens interagissent et ce qu'il signifie pour trouver la clé de l'âme d'un autre humain.