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 Jean- Claude Pascal

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ninipeaudetoutou777
Admin
ninipeaudetoutou777


Messages : 9805
Date d'inscription : 14/12/2012

Jean- Claude Pascal Empty
MessageSujet: Jean- Claude Pascal   Jean- Claude Pascal EmptyJeu 27 Déc - 14:33





Acteur et chanteur français
Date et lieu de naissance : 24-10-1927, à Paris dans le 7ème, France.
Date et lieu du décès :
05-05-1992, à l'hôpital Beaujon, Clichy-la-Garenne, Hauts-de-Seine, France.
Il a été incinéré et ses cendres ont été dispersées dans la baie du Mont Saint-Michel et dans la baie d'Hammamet en Tunisie. Une pancarte portant son nom a été placée par sa mère à la porte du caveau familial au cimetière Montparnasse, alors qu'il n'y repose pas.
Cause du décès :
D'un cancer de l'estomac à l'âge de 64 ans.
Jean-Claude Pascal, de son vrai nom Jean-Claude Roger Henri Villeminot, né à Paris le 24 octobre 1927 et décédé à Clichy-la-Garenne le 5 mai 1992, est un acteur, chanteur et écrivain français. Il s'est volontairement engagé à 17 ans (en 1944) dans la 2e Division blindée, avec laquelle il pénètre dans Strasbourg encore occupée. Il reçoit la Croix de guerre1.

Après avoir abandonné le métier de styliste de mode pour faire une carrière théâtrale à la fin des années 1940, Jean-Claude Pascal se lance dans le cinéma au début des années 1950, incarnant des rôles de séducteur. Au milieu des années 1950, il se lance également dans la chanson en tant que chanteur de charme. Au début des années 1970, il se reconvertit en écrivain et en historien, publiant des romans noirs et des romans historiques, ainsi que ses Mémoires. Il est commandeur des Arts et des Lettres et chevalier de la Légion d'honneur. Il meurt en 1992, presque oublié.
Issu d'une famille d'industriels du textile, Jean-Claude Villeminot commence sa carrière professionnelle, juste après la Seconde Guerre mondiale, comme modéliste-dessinateur d'abord chez Hermès, puis chez les couturiers Christian Dior et Roger Piguet ; il devient aussi modèle du fait de son physique avantageux. Il met ensuite ses talents de styliste au service du théâtre, en dessinant des costumes, notamment pour la pièce Dom Juan de Molière mise en scène par Louis Jouvet. Très vite, se sentant appartenir au monde du théâtre, il décide de devenir comédien et, après avoir suivi les cours d'art dramatique de René Simon, il fait ses débuts sur les planches en 1949, aux côtés de Pierre Renoir d'abord, puis de 1950 à 1952, dans La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils, il est le partenaire de la grande Edwige Feuillère2. C'est alors qu'il prend le nom de Jean-Claude Pascal, sous la pression de sa famille.

Carrière au cinéma[modifier]

Grand, élancé, le regard ténébreux, une diction classique héritée de sa formation de comédien de théâtre, Jean-Claude Pascal est le type même du séducteur romantique qu'affectionnait le cinéma français des années 1950.

Le mal aimé[modifier]

Jean-Claude Pascal fait partie des acteurs les plus méprisés par la critique française3. Il fut de ce cinéma populaire assassiné par la Nouvelle Vague4, et il est aujourd'hui oublié du public et absent des commémorations médiatiques, malgré sa reconversion réussie dans la chanson5.

Pourtant, il fut une idole adulée du grand public. En effet, les metteurs en scène populaires qui le dirigèrent (les Ralph Habib, Léonide Moguy, plus tard Pierre Gaspard-Huit) sont pour la plupart ignorés par les historiens du cinéma ou dénigrés : Guinguette (1958) de Delannoy est jugé « soigné mais impersonnel » et Les Arrivistes (1960) de Daquin « conventionnel »6. Il faut reconnaître – et Jean-Claude Pascal le faisait volontiers – que, malgré des collaborations intéressantes avec Alexandre Astruc ou Pierre Schoendoerffer, l'acteur se contenta souvent de « vendre sa gueule » comme il le disait lui-même.

Le bien aimé[modifier]

Partenaire d'Anouk Aimée, des « scandaleuses » Françoise Arnoul et Martine Carol, de Zizi Jeanmaire, de Bardot débutante, des bombes italiennes Gianna Maria Canale et Gina Lollobrigida (avec cette dernière dans Le Grand Jeu (1954), le pire film de Robert Siodmak), de Romy Schneider et Michèle Mercier, mais aussi de Maria Mauban, Renée Saint-Cyr, Pascale Roberts, Anne Vernon ou encore Madeleine Robinson, toutes des gloires du cinéma français traditionnel, le beau Jean-Claude doit d'ailleurs son premier succès (sur les planches) à une femme, Edwige Feuillère.

Décoloré en blond pour Le Jugement de Dieu (1949), sa première apparition au cinéma dirigée par le vétéran Raymond Bernard qui l'a repéré par hasard7, il incarne le prince Albert de Bavière.

Le jeune homme perce dès son quatrième film, Un grand patron (1951) d'Yves Ciampi, grand succès dans les salles, où il s'affronte au monumental Pierre Fresnay. La reconnaissance critique vient grâce au moyen métrage d'Alexandre Astruc Le Rideau cramoisi (1951), le seul rôle qui le sauve aux yeux des historiens pointilleux du cinéma et qui exprime avec bonheur la tendance cynique de sa personnalité.

L'idole de l'écran[modifier]

Le costume historique sied à merveille à Jean-Claude Pascal. Après Le Chevalier de la nuit (1953), sur un scénario et des dialogues de Jean Anouilh, l'acteur incarne Milord l'Arsouille (1955) puis le « caprice » dans Un caprice de Caroline chérie (1952)8. Il prête aussi sa distinction au supposé amant de Marie-Antoinette, Axel de Fersen, dans Si Versailles m'était conté (1953) de Sacha Guitry, et dans une production plus tardive, La Belle et l'empereur (1959), au tsar Alexandre Ier.

Interprète de Barbey d'Aurevilly (Le Rideau cramoisi) et de Honoré de Balzac (Les Arrivistes (1960) d'après La Rabouilleuse), Jean-Claude Pascal semble abonné au romanesque puisqu'on le retrouve en 1956 dans une adaptation de Guy Des Cars, La Châtelaine du Liban, et en 1959 dans une adaptation de Pierre Loti, Pêcheur d'Islande, où l'acteur « s'y croit un peu, en loup de mer barbu » selon le critique Aurélien Ferenczi. Les scénarios de certains de ses films sont cosignés par Jacques Companeez ou Pierre Lary.

Au fil des tournages, il fréquente la fine fleur de l'actorat : le comique italien Toto et Simone Simon, Erich von Stroheim, Arletty, Yves Robert, Danielle Darrieux, Jeanne Moreau alors en pleine ascension, Juliette Gréco, Paul Meurisse, Raymond Rouleau, Roger Hanin, Charles Vanel, auquel il succède dans Pêcheur d'Islande, Annie Girardot, Valérie Lagrange.

En revanche il participe rarement à des productions étrangères. Tout juste figure-t-il dans quelques films italiens et dans Opération Opium (1966), signé par Terence Young, réalisateur des premiers James Bond.

Jean-Claude Pascal finit en « Grand Eunuque du Sultan du Maroc » dans Angélique et le sultan (1968), le dernier épisode de la série Angélique (dans le roman d'Anne Golon, son personnage est noir, obèse et totalement féminisé) 9 Son dernier film date de 1970 : Les Toits de Saint-Paul d'Alfred Weidenmann.

Reconversions[modifier]





Jean-Claude Pascal en 1970 à Gambais
Jean-Claude Pascal opèrera deux reconversions : chanteur puis écrivain. Comme chanteur, il participera à deux reprises au concours Eurovision de la chanson en 1961 pour le Luxembourg, où il remportera le 1er prix avec le grand succès de l'époque « Nous les amoureux », et vingt ans après, pour le Luxembourg toujours, avec « C'est peut-être pas l'Amérique ». Comme écrivain, il débutera avec ses Mémoires (Le Beau masque) (1986), écrits de sa main propre et poursuivra avec des ouvrages historiques - ainsi La Reine maudite (1988), biographie-fleuve de Marie Stuart, qui lui a demandé cinq années de travail.

Le chanteur[modifier]

Après des débuts musicaux très remarqués, en 1958, autour de chansons telles que Soirées de prince de Pierre Delanoë, Jean-Claude Pascal donne en 1961 son premier récital à Bobino avec des chansons signées par les jeunes auteurs que sont alors Jean Ferrat, Serge Gainsbourg et Bernard Dimey (dont il sera l'interprète « le plus pertinent » avec Quarante ans, Chanson pour terminer, Le Roi lune, J'ai cinquante ans ce soir). La même année, il a un succès retentissant en remportant le Grand Prix de l'Eurovision, pour le compte du Luxembourg, avec le titre Nous les amoureux de Maurice Vidalin et Jacques Datin. Le public ne se doute pas que les paroles dénoncent en fait la répression des amours homosexuelles mais prédisent une évolution prochaine des esprits à leur égard, ainsi que le chanteur devait le reconnaître plus tard10,11.

Il représentera à nouveau le Luxembourg au concours de l'Eurovision vingt ans plus tard, en 1981, avec la chanson C'est peut-être pas l'Amérique, classée 11e. En 1962, il obtient le prix de l'Académie Charles-Cros. En 1967, il reprend avec succès en Allemagne – et en allemand – le tube international de Pascal Danel, Kilimandjaro.

Chanteur de charme polyglotte, il enregistrera au cours de sa carrière plus de 50 albums, et connaîtra le succès dans de nombreux pays. Sa voix suave et profonde lui permet de servir une interprétation sensible d'auteurs-compositeurs-interprètes comme Charles Aznavour, Guy Béart, Gilbert Bécaud, Guy Bontempelli, Barbara ou Jacques Brel.

Il ralentit sa carrière de chanteur à partir des années 1970, pour reprendre du service en tant qu'acteur, principalement dans des productions télévisées et au théâtre – notamment Adieu Prudence de Barillet et Grédy, aux côtés d'Alain Feydeau et Françoise Christophe. Il enregistre un dernier album de chansons en 1983, dont la plupart des textes furent rédigés par Gilbert Sinoué, devenu écrivain depuis. À partir cette époque, il ne se consacrera plus qu'à l'écriture.





Caveau de la branche maternelle de la famille de Jean-Claude Pascal au Cimetière du Montparnasse.
L'écrivain[modifier]

Jean-Claude Pascal publie en mars 1986 Le Beau Masque, Mémoires partiels où il ne s'attache qu'à narrer certaines parties de sa vie, en particulier sa carrière cinématographique, au travers des rencontres avec des actrices qui lui ont laissé un bon ou un mauvais souvenir. Puis il se lance dans l'écriture de romans policiers : Le Panier de crabes (novembre 1986) et ses suites Le Fauve (février 1987) et La Garce (avril 1987). Il est également l'auteur de romans : L'Arc-en-ciel de novembre (mars 1989) et L'Enfant et les Giboulées (janvier 1990). Par ailleurs, encouragé par Philippe Erlanger, il s'adonne à sa passion pour l'histoire et fait œuvre d'historien avec les biographies historiques La Reine maudite en mars 1988 et L'Amant du roi en mai 1991








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