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Musique classique, jazz, variétés d'hier et d'aujourdhui
Le critique musical Lloyd Moore écrit : « Le consensus de l'après-guerre voulait que seuls les compositeurs qui étaient assez intrépides et courageux pour faire le plongeon "historiquement inévitable" dans l'atonalité soient dignes de notre attention aujourd'hui, mettant ainsi automatiquement de côté quiconque ne cadrait pas dans cette vue élégante mais trompeuse de l'histoire musicale. » Le retour à l'harmonie et aux sentiments s'est avéré tellement nécessaire que l'on découvre (ou redécouvre) tous ces grands compositeurs qui apportèrent modestement leur tribut à la Beauté : Alexander von Zemlinsky, Franz Schreker, Erich Wolfgang Korngold, Joseph Marx et Karl Ignaz Weigl, né à Vienne en 1881, auteur notamment d'une « Fantaisie symphonique » (1905) et de six symphonies. Quand les nazis entrèrent en Autriche, Weigl partit pour New York où il fut engagé comme professeur au Brooklyn College, puis au conservatoire de Boston, enfin à l'Académie de Musique de Philadelphie où il composa sa « Symphonie n°5 "Apocalyptic" (1945). L' « Intermezzo fantastique pour orchestre » qui fut composé en 1921 est une partition pleine d'effervescence assez similaire à celle qui anime le « Scherzo fantastique » (1908) du jeune Igor Stravinsky.